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Une saga familiale qui met en scène plusieurs générations de Lonsonier au cours du XXe siècle. Des coteaux du Jura jusqu'aux prisons chiliennes en passant par les tranchées de la Somme, Lazare le Poilu, Thérèse l'amoureuse des êtres ailés, Margot l'aviatrice et son fils révolté Ilario Da volent vers leur destinée, liés par la légende mystérieuse d'un oncle disparu. Prix des libraires 2021. ­Electre 2022

En quinze ans de carrière, The War On Drugs s'est imposé comme un groupe incontournable de la scène rock indie. Ils sont de retour avec leur cinquième album studio. Commencé seulement un mois après avoir été récompensé du Grammy Award du Meilleur Album Rock en 2018 pour A Deeper Understanding, cet opus est le fruit de quatre années de travail.

Elle nous accompagne, depuis plus de 10 ans déjà, de ce chant envoûtant, et à travers celui-ci de la délicatesse de ses mélodies folk boisées. On connait moins son engagement social et politique. Et pourtant. Dès 2009 et Victorian America, son second album, elle évoque à travers l'Amérique victorienne le sexisme et diverses formes de discriminations. Plus proche, They moved in shadow all together (2016) aborde de façon frontale traumas, violences faites aux femmes, racisme ou débordements policiers. Ce sixième opus dresse un constat alarmant de l'état du monde.

Elle fêtera en 2014 ses 10 ans de carrière. Une carrière lancée par Ma philosophie, l'hymne de toute une génération décomplexée. Dotée d'une voix aussi émouvante que puissante, l'artiste a su toucher son public notamment avec des ballades à fleur de peau. Instinct, signe le retour d'Amel Bent sur le devant de la scène. Un cinquième album novateur, doté d'une production résolument moderne. A noter également qu'Amel est désormais auteur, en effet elle a écrit ici la majeure partie des textes qu'elle interprète.

La musique du film est écrite par Dionysos, on y retrouve de larges extraits de l'album La mécanique du coeur paru chez Barclay en 2007, deux titres d'Olivia Ruiz où elle chante en espagnol, des instrumentaux et des inédits.

Khusugtun signifierait "le peuple des chariots". Ce terme est synonyme de "nomades", approprié pour ces musiciens qui tournent à l'international depuis dix ans. Même si Khusugtun ne se sert de la tradition épique que pour la création d'une chanson, Jangar, la volonté de donner à leur deuxième disque le nom ce héros de la littérature orale mongole montre leur intérêt pour les traditions musicales anciennes, source d'inspiration majeure. Bien des ensembles mongols reprennent le répertoire traditionnel et le réarrangent selon leur goût et leurs influences. La particularité de Khusugtun réside dans l'usage de la polyphonie vocale réalisée à partir du khöömii (chant diphonique mongol) et divers chants de gorge. Dans leur pratique instrumentale, tous les musiciens du sextet ont suivi une formation au conservatoire. Pour la voix en revanche, l'approche a été orale.